This volume offers fresh perspectives on the relationship between climate change and human migration, questioning the pessimistic prisms of ‘security’ and market-oriented approaches to ‘adaptation’ that currently guide policy.
Since March 2020, the world has experienced a forced deceleration. More and more people are linking the Corona pandemic not least with the robbery of man from nature and it has revealed the complete vulnerability of both. We need to address the fact that the virus hits the poorest people in the world, that the pandemic cements the existing gender roles and that many of the self-employed, including artists and scientists, suddenly lose their livelihoods.
Les dimensions sexospécifiques de la pandémie sont nombreuses et d'une gravité étonnante, mais elles ne sont pas nouvelles et ne sont pas surprenantes. En fait, le coronavirus invisible a plutôt rendu visibles les nombreuses lignes de faille déjà existantes dans notre monde hyper-mondialisé et largement dirigé par les entreprises, avec ses injustices économiques, environnementales et sociales, son inégalité et son sexisme persistants entre les sexes, sa xénophobie et son racisme violents, son oppression néocolonialiste et son extractivisme perpétué par des élites financières, politiques et intellectuelles autoproclamées.