Malgré les efforts entrepris ces trente dernières années par le Sénégal en matière de promotion de l’égalité de genre, la sousreprésentativité des femmes reste une réalité dans tous les instituts et établissements d’enseignement supérieur au Sénégal (Fatou Diop Sall, 2019 : 8). La construction des relations sociales sur le modèle patriarcal, l’accaparement des espaces de pouvoir par les hommes et la faible confiance de la société aux capacités des femmes à diriger des institutions restent les raisons fondamentales de cette situation (Onibon 2012). Un paradoxe établit entre la réussite des filles dans le cycle primaire jusqu’au cycle secondaire et leur nivellement vers le bas en milieu universitaire (KANDE, 2014).
Les pays africains ont de plus en plus accès à l’Internet haut débit, les questions liées à
la neutralité de l’internet, à la régulation et à l’interopérabilité adéquate se posent, il est
nécessaire de veiller à ce que les citoyens puissent exercer librement leurs droits.
C’est dans ce cadre que la Déclaration de principes sur la liberté d’expression en Afrique
prévoit que : « aucun individu ne doit faire l’objet d’une ingérence arbitraire à sa liberté
d’expression. Toute restriction à la liberté d’expression doit être imposée par la loi, servir
un objectif légitime et être nécessaire dans une société démocratique ».
Cette présente édition « Best Of Perspectives» est la collection des articles et les contributions les plus pertinents pour le lectorat sénégalais selon les thématiques centrales sur lesquelles la hbs travaille au Sénégal.
Cette note est issue de l'étude de l'impact économique, social et sanitaire de la COVID-19 chez les femmes dans les régions dans les régions de Dakar, Kaolack, Kolda, Saint-Louis et Sédhiou. Elle est destinée aux décideur.euse.s politiques et contient des recommandations concrètes.