Pour une société équitable, une démocratie forte et une migration juste

Ngir mboolaay gu yamale ñépp ak demokaraasi bees dooleel ci samp ak aar àqi ñépp ci lu dul beddee

Générique Programme Demo

Le programme Démocratie œuvre pour une société équitable et une démocratie renforcée par l’effectivité et la protection sans distinction des droits de chacun.e y compris celui à la migration, la défense des espaces d’action de la société civile et la conception d’approches politiques basées sur les droits.

Il agit à travers trois (03) sous-composantes liées au Féminisme, à la Migration et à la Démocratie pour favoriser :

  • Des droits humains et reproductifs soutenus et protégés pour toutes les femmes ;
  • Une politique migratoire attentive aux droits humains et au potentiel de la migration régionale ;
  • Et le renforcement de la participation et de l’engagement citoyen à travers la promotion d’initiatives communautaires.

L’idée est de développer des stratégies respectivement en vue de :

  • Protéger les droits sexuels et reproductifs, en tenant particulièrement compte des besoins des groupes défavorisés et stigmatisés ;
  • Faire avancer la mise en œuvre d'une politique migratoire cohérente et sensible au genre au Sénégal, en formulant des recommandations politiques qui reconnaissent le potentiel de la migration régionale et respectent la dignité humaine ;
  • Soutenir les acteurs de la société civile dans la défense des espaces civiques, la promotion de systèmes politiques plus participatifs et leur engagement actif dans les processus de réforme.

 

Articles

Publications

Closed ports, dubious partners

Closed Ports, Dubious Partners

E-Paper
This study shows that port closures are governed not only by the law of the sea and human rights law, but also by WHO law and that non-refoulement obligations continue to apply even in emergency situations while a derogation is not permissible under international law.

Perspectives #01/2018: The Quest for Political Accountability: Change Agents, Openings and Dead Ends

Since the third wave of democratisation swept through the continent in the 1990s, the majority of African states have replaced military dictatorships and one-party-dominant systems with more democratic forms of governance. Today, 61 percent of sub-Saharan countries are “free” or “partly free” according to Freedom House’s 2018 survey – although this is down from a high of 71 percent in 2008.